On peut se dire ça, on peut se dire aussi que c'est une manière d'entretenir certains métiers d'art qui risqueraient de disparaître sinon. J'avais vu un reportage sur une fabrique de tapisseries (les vraies, en tissu) qui tient grâce au luxe.
Mais le grand reproche que je fais à ce déballage de fric, c'est que l'activité qu'il provoque est concentrée sur quelques rares. Quand l'argent est à la main de quelques-uns, la masse en est appauvrie.
Mais je ne veux pas fustiger seulement les propriétaires de ces yachts, on a aussi des profiteurs et des dispendieux un peu partout dans notre pays, parmi les politiques, les médecins, les grands patrons, les soi-disant artistes...