Tout comme la dispersion de bordilles et des bouteilles de Heineken, Marseille détient je pense la palme d'or pour l'installation de poteaux, potelets, bornes, barrières fixes et mobiles.
Certes....
Du coup ce mobilier urbain est également "vicitime" de dégradations/ destructions, volontaires et involontaires, diverses et variées ...
Vous avez tous des exemples dans vos rues : un poteau arraché, plié, tordu.
Mais quand je vois l'état de cette station de vélo, située sur l'avenue de la Madrague de Montredon : (photos prises le 10 ou 11 nov 2016)


Je ne peux pas croire que le véhicule responsable de ce carnage soit sorti indemne de cet accident
Et donc j'en viens à ma question : celui qui est responsable d'une telle destruction, est-il dans l'obligation de participer financièrement (voir même de porter totalement) à la réparation voir au remplacement à l'identique de ce mobilier urbain ?
Ou est ce que c'est la collectivité qui prend tout ça à sa charge ? Et donc quelque part nous....
Certes mon exemple est peut-être mal choisi, mais vous voyez l'idée en générale ?
Est ce que la vidéo surveillance qui se multiplie en ville peut aussi servir à ça ? Rattraper un automobiliste qui aurait plié un potelet en faisant un mauvais créneau et qui après l' avoir tordu s'en va sans faire de constat. Et en réalité il prend la fuite pour échapper à la verbalisation.....
Parce que moi ça me donne grave les boules quand je vois tous ces objets abîmés, qui presque comme les bordilles jonchent le bord des rues de la ville.