




Lieu de vie , en dehors du parvis le front de mer est peuplé par les cazaouis , pécheurs , surfers , ou simples promeneurs ...
Edité le : 05 Mai 2009 à 22:53:00


Au rendez vous des pigeons :Une place ou se cotoie Préfecture , tribunal , poste et mengeoire géante à pigeon. Les habitants les nourissent et s'en est un balais géant de coups d'ailes :


Un des milles petits boulots qui permettent la survie des gens , tatoueuse au henna .

le bureau de poste.
Edité le : 05 Mai 2009 à 22:58:56
Le jardin de la ligue arabeNon loin de là s'ouvre sur des kilomètres carrés le joli jardin de la Ligue arabe , planté de palmiers et d'arbres entrelacés :


ici l'expo de yannarthus betrand en plein air.

Petite vue sur la sinagogue monumentale

enfin je crois j'ai pas eu le temps d'y aller
Edité le : 05 Mai 2009 à 23:00:49

Les allées bordants le jardin de la ligue , lieux de flanerie , et espace de jeux bien à l'abris du soleil pour les enfants ...
Edité le : 05 Mai 2009 à 23:14:34
Le casa moderne :Le long du boulevard zerktouni , s'ouvre le plus grand ensemble commercial du maroc

Le twin center , immeuble de bureaux centre commercial , vous y trouverez toutes les enseignes que vous trouvez en france , sans grand intérêt si ce n'est le moment d'aborder la réalité de la ville ou on détruit les villas pour construire immeuble sur immeuble
Combien de temps le marchand de poisson et son mulet passeront encore en criant hout HOUUUT ? les marchants de fruits , d'escargots et les milles petits métiers qui font la couleur de la ville.
Viendra un jour, ou les échoppes qui vous vendent le beurre au poids , la lessive et chaque produits au détails diparaitront ...
Entre bidons villes et immeubles, un seul maitre mot catalise cette ville : L'argent ! L'argent pas les sommes immenses qui s'y développe , les nouveaux riches , les gens qui vous arnaquent , ceux qui luttent en comptant dirham sur dirham
Reste les sourires réels , parfois pas et la sureté nationale qui patrouille à tous les coins de rues , pour tenir tout cela en ordre ...
Je ne pourrais vous dire ce qu'on ressent tant l'ensemble est mitigé , entre oppression , surveillance de ses mots et de ses gestes. Bataille constante pour ne pas se laisser avoir , paroles sous le manteau , les journées passent rapidement , et la vie découle avec lenteur.
Ce qui prend dix minutes ailleurs prends souvent des heures ici , un autre monde. Et au fond comme un espèce de soulagement de pouvoir reparler normalement , de retrouver sa liberté en rentrant chez soi ...