Et si les collectionneurs (ou même les riches qui dépensent leur fric en achetant des raretés) avaient compris qu'il fallait donner à chaque chose sa véritable valeur ?
900 euros pour un poème de Mistral, ce n'est rien comparé à des peintures de Van Gogh ou Gauguin ... chiffrées à des millions d'euros, mais c'est quand même trop.
Ce n'est pas la valeur du poème que je mets en doute (la phrase que tu cites est si belle, et j'ai lu et j'aime ce qu'écrit Mistral), mais les abus qu'il peut y avoir dans les salles de vente aux enchères.
je suis ravie que la ville de Sceaux l'ait acheté, ce poème !!